Immobilier : printemps en demi-teinte
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Alors que les zones rurales sont en pleine surchauffe, la hausse des prix marque le pas dans les grandes villes. Si la situation se contraste en...
Alors que les zones rurales sont en pleine surchauffe, la hausse des prix marque le pas dans les grandes villes. Si la situation se contraste en...
En deux ans de pandémie, le marché a vu ses prix augmenter de plus de 10%, portés par les nouvelles aspirations des Français.
Les prix n’ont augmenté que de 0,2 % en ce début d’année. Sous pression, les banques commencent à remonter leurs taux d'intérêt.
Alors que les prix de la capitale ont dévissé de 1% en novembre, le reste du territoire est à la hausse de 0,3%.
Le dépassement est de 100 euros en moyenne pour les locations vides et 132 euros pour les meublées.
Certaines métropoles ont quasiment effacé l’effet du Covid. Les délais de vente se raccourcissent à peu près partout.
Le dernier baromètre de Meilleurs Agents pointe une augmentation de 0,3 % au mois d’avril, conséquence notamment d’une hausse du nombre d...
Ils augmentent de 0,1 % dans les principales agglomérations, sauf à Paris où ils sont toujours en baisse.
Saint-Denis, Villejuif, Bobigny, Bagneux, et Gennevilliers sont les grandes gagnantes du projet titanesque.
La Petite et la Grande Couronne bénéficient du report des acheteurs en quête de prix plus abordables.
Le prolongement de la ligne de métro a fait grimpé les prix immobiliers aux abords des nouvelles stations de plus de 46 %.
Le prix moyen au mètre carré n’a augmenté que de 0,2 % en novembre selon Meilleurs Agents