Le bureau de communication en matière de blanchiment d’argent, dit « MROS », vient de publier son rapport annuel.
Peu d’évolutions marquantes sont à souligner. Le rapporteur signale que « les communications de soupçons connaissent une baisse par rapport aux deux années précédentes. En effet, 2013 n’a pas connu d’évènements exceptionnels de nature à engendrer un nombre considérable de communications comme dans les années précédentes. Ce nombre moins élevé de communications a toutefois permis au MROS d’approfondir encore ses analyses. Les homologues étrangers ont été davantage sollicités (environ 400 personnes physiques ou morales de plus qu’en 2012).
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