Une enquête réalisée par Morningstar au mois de mai dernier auprès de 300 CIF révèle que le nombre de missions de conseil sur une année est...

Retour sur les sujets qui ont fait l'actualité des semaines du 10 et du 16 juin 2014 sur agefiactifs.com
Conseil financier. Si la part des honoraires dans le chiffre d’affaires des CIF peine à croître, les consultations menées à l’échelon européen amènent certains experts à considérer que l’indépendance s’entend au niveau de la prestation et non du professionnel.
Banque privée. La collecte de la gestion de fortune offshore (non domestique) à baissé l’an dernier en Europe. La Suisse reste le premier centre de gestion d’actifs non domestiques, avec 2.300 milliards de dollars soit 1.700 milliards d’euros d’actifs et 26 % du marché, Hong Kong et Singapour devraient voir leur poids passer de 16 % à 18 %. Par ailleurs, dans les centres européens de gestion de fortune offshore, les effectifs de chargé de clientèle ont baissé de 7 % l’an dernier selon le dernier rapport du Boston consulting group. Les turbulences traversées par les acteurs de ce marché, dont UBS et HSBC en Suisse et l’épisode de la régularisation des avoirs bancaires non-déclarés ne sont pas étrangers à cette situation.
Une enquête réalisée par Morningstar au mois de mai dernier auprès de 300 CIF révèle que le nombre de missions de conseil sur une année est...
L’Esma invite les professionnels à répondre avant le 1er août prochain à sa consultation sur la directive MIF II
Selon le BCG, la collecte et la profitabilité de la gestion de clients non domestiques reculent, face à la concurrence d'autres places
Ces banquiers doivent trouver le juste équilibre pour préserver les liens de proximité et une relation professionnelle avec leurs clients.
Avant la réunion programmée mardi 24 juin entre le ministre des Finances et des banquiers suisse, Jérôme Barré, avocat associé du cabinet Franklin...
Les nouveaux comportements des consommateurs compliquent le travail des banques, contraintes de moderniser leur offre sans vision claire de l’avenir.
Le plan du groupe se veut raisonnable. Quelques spécificités pourraient être payantes à long terme.
Omnibus II fixe des mesures d’ajustement qui soulagent mutuelles et organismes d’assurance.
Ils dépassent les 100 milliards d’euros. L’instabilité du régime inquiète les professionnels.