Qu’ils soient banquiers, assureurs ou sociétés de gestion, nombreux sont les acteurs qui ne seraient pas contre un report supplémentaire de l’application des textes européens MIF II, DDA et Priip. Il faut dire que l’échéance, fixée au début de l’année 2018, se rapproche à grands pas au regard de l’ampleur du chantier qui attend les concepteurs et les distributeurs de produits financiers et de solutions d’épargne.

Reste que les autorités, européennes et nationales, semblent décidées à tenir bon, inspirées sans doute par les initiatives menées par certaines banques pour respecter les délais impartis.